S’il fallait résumer en un mot le contexte des affaires en cette décennie, « rapidité » arriverait en haut de la liste. Les entreprises doivent constamment et rapidement s’ajuster aux changements du monde des affaires, produire de plus en plus vite et offrir des services et des produits de meilleure qualité en des temps records. Comment faire ?
Pour répondre à cette question, il faut examiner les véritables enjeux, qui se décomposent en plusieurs parties : accélérer les processus d’affaires, automatiser les opérations, éliminer les frictions entre les affaires et les processus technologiques par la modernisation, augmenter la capacité de prise de décision rapide et assurer une pleine sécurité.
L’ensemble de solutions logicielles cloud hybride d’IBM permet de relever ces défis auprès des moyennes et grandes entreprises. « Que ce soit pour ouvrir ses données à un partenaire, pour faciliter l’intégration d’un fournisseur ou pour extraire des données, par exemple, les Cloud Paks permettent d’automatiser les affaires, de modéliser, de fluidifier et d’accélérer les processus », précise Carl Cabou, spécialiste technique chez IBM.
Ces solutions se présentent sous la forme de cinq « Cloud Paks » qui s’appuient notamment sur l’intelligence artificielle. Il y a un Cloud Pak pour :
Les Cloud Paks forment donc un ensemble d’outils informatiques puissants, de fonctionnalités différentes et de familles différentes, mais qui poursuivent tous les mêmes buts : fiabiliser les processus d’affaires, augmenter la rapidité de déploiement et accélérer la transformation numérique des entreprises et des organisations.
L’intelligence artificielle est au cœur de ces solutions et de leur évolution. « L’IA va apprendre et finir par prendre des décisions sans qu’on ait besoin de programmer manuellement un moteur de règles », indique Carl Cabou.
Ces cinq solutions érigées sur une plateforme de conteneurs telle que Red Hat OpenShift, offrent beaucoup de souplesse : elles peuvent être déployées chez n’importe quel fournisseur.
Malgré toute cette technologie et cette intelligence artificielle, la main-d’œuvre humaine reste essentielle. « Les infrastructures TI ne seront plus faites de gros blocs, mais divisées en de plus petits morceaux, notamment via les architectures dite « microservices » », dit Carl Cabou. De nouvelles équipes devront être formées pour assurer la réalisation du plein potentiel de ces technologies. Sans ces personnes, la transformation numérique est vouée à l’échec. »